L’interopérabilité est une capacité critique :
la conséquence de l’accélération du tout numérique
Depuis plus de dix ans maintenant, on entend parler de transformation digitale, d’adoption du Cloud ou encore de numérisation des actes métier. C’est un fait, la crise sanitaire actuelle a accéléré tout cela.
L’accélération de la transformation digitale pour de nombreuses entreprises, de toutes tailles, les a amenées à déployer et maintenir de plus en plus d’applications… vingt, trente, cinquante applications hétérogènes qui doivent communiquer, synchroniser des données au quotidien.
Aucun secteur n’est épargné
Des processus RH, à l’inscription en école, ou encore à la commande en livraison express sur Internet, l’automatisation communicante porte le numérique des Entreprises. Les applications supportent les opérations digitales cruciales, tiennent la croissance et sont le pilier de l’innovation. De nombreuses activités métiers sont numériques ; tous les secteurs, tous les processus sont concernés par l’automatisation et cela ne devrait pas diminuer.
Cette accélération soudaine et inattendue, même si les applications sont de plus en plus stables, amène son lot de complexité pour les gestionnaires informatiques. Particulièrement pour les PME et ETI qui doivent s’organiser à coûts limités et ressources fortement contraintes ; tout en ayant les mêmes objectifs de qualité et de résultats auprès de leurs clients.
Maîtriser l’interopérabilité des applications dans le changement continu est une nécessité
Une problématique récurrente de performance de l’automatisation des activités numériques réside dans les échanges de données intra et inter-entreprises qui peuvent dysfonctionner, manquer de fiabilité, être bloqués, etc…. Cela peut avoir des impacts potentiellement importants sur la continuité de production, la qualité du service rendu, l’image de l’Entreprise ou encore les revenus portés par le digital.
L’automatisation des processus et des activités métier est portée par les applications d’entreprise, pas de nouveauté à ce sujet. D’ailleurs, les entreprises sont plutôt matures pour la mesure et le contrôle de leurs applications critiques unitairement. Cependant la capacité d’échanger correctement entre applications : leur interopérabilité, n’est que peu ou pas prise en compte comme une priorité dans les projets ou initiatives numériques.
Voir ici notre article concernant l’interopérabilité des systèmes d’information.
La raison majeure est bien qu’il s’agit d’une contrainte transverse, hors des silos de projet ou de l’organisation, ou encore hors budget. Par conséquence, les entreprises ont du mal à le gérer en amont et le subissent en exploitation.
Process Sentry, une solution efficace à moindre coût
La startup ACS DIGITAL SOFTWARE, éditrice de la solution logicielle Process Sentry propose une solution logicielle simple et pragmatique « out-of-the-box » pour maîtriser l’interopérabilité des applications et améliorer la collaboration entre les acteurs des métiers.
Elle est à la croisée de ces différents domaines, et a pris le meilleur de plusieurs marchés : le Business Process Management (BPM), l’Application Performance Management (APM), le Scheduling management (le SOAPs) ou encore l’API management pour en faire une solution intégrée qui répond à la problématique d’interopérabilité pour la majorité des entreprises de toutes tailles.
Au travers de trois piliers fonctionnels (l’automatisation, le monitoring et la collaboration Métier / IT), la solution permet aux entreprises souvent abandonnées par les grands éditeurs d’assurer la maitrise de leurs échanges de données et flux intra et inter-entreprises pour continuer d’innover sereinement avec le digital et aux décideurs IT de dormir sur leurs deux oreilles.